Le 21 décembre dernier, dans les locaux de l’Ordre, salle Serge LEQUIN, en présence des chefs de la juridiction, Monsieur le Procureur Stéphane Stéphane HARDOUIN et Monsieur le Président Eric BIENKO VEL BIENEK, le Bâtonnier Edouard BILLAUX a cédé le bâton à celle qui va lui succéder le 1er janvier 2024, Madame le Bâtonnier Yolaine BANCAREL.

Moment d’émotion bien sûr. Être bâtonnier par temps calme n’est pas une sinécure mais l’être dans la tempête est une gageure…
La crise sanitaire et la crise sociale qui l’a suivie ont mis le barreau à rude épreuve : repli sur soi, animosités irraisonnées et vaines querelles…
Le Bâtonnier a tenu ferme la barre et pour cela, des grâces méritées lui ont été rendues.

Mais moment jubilatoire aussi. La communauté des avocats cristoliens est faite d’âmes ardentes et généreuses qui nous animent et nous grandissent. Yolaine BANCAREL est de celles-là. On la sait soucieuse de concorde et porteuse d’une belle ambition pour le barreau. Gageons qu’elle saura écouter, comprendre, assister et défendre mais qu’elle saura aussi inspirer, réunir et fédérer les énergies.

Un maître soufi du 9e siècle disait : « Il faut rechercher le bonheur jusque dans le danger ». Le danger est là mais l’espérance est vive de voir Yolaine BANCAREL nous permettre de le trouver enfin. Qu’elle accueille ici l’expression sincère et vibrante de nos vœux de plein succès dans la noble mission qui lui échoit désormais.

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Ce fut une bien jolie cérémonie que celle qui s’est déroulée le lundi 11 décembre dernier dans l’amphithéâtre A2 de la faculté de droit de CRETEIL, sous la présidence de Monsieur Laurent GAMET, Doyen de la faculté, et de Monsieur Romain BOFFA, Directeur de l’IEJ, avec à leur côté les représentants de la juridiction et du barreau, leur présence consacrant, s’il en était besoin, la permanence d’un partenariat heureux.

C’est qu’il s’agissait de remettre aux étudiants le sésame leur ouvrant le parcours initiatique devant les conduire à l’exercice de la profession d’avocat, le diplôme d’entrée dans un CRFPA !

Ambiance tout en euphorie côté étudiants, tout en fierté côté enseignants, et que dire de la joie des parents et des accompagnants…

Ce fut à Madame le Bâtonnier Elizabeth MENESGUEN  qu’il revint de remettre le prix du barreau à Monsieur Florian CATALDI, major de la promotion, cependant que Madame Eva ANSELMI reçut des mains de Madame Laurence GROSCLAUDE, vice-Présidente du Tribunal, le prix de la juridiction. Nul doute que tous deux sauront faire honneur à la profession, conseil pour l’un, défense pour l’autre, qu’ils aspirent à exercer.

A eux et à tous, nos vœux de plein succès dans la quête du graal qui commence : l’obtention du CAPA ! 

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Parce que les fêtes de fin d’année sont pour tous un moment particulier, parce qu’elle nous donnent le goût de nous retrouver dans l’amitié, mais aussi parce qu’il est bon parfois d’être à nouveau des enfants, l’Association sportive et culturelle du Palais de Justice de CRETEIL, en partenariat avec la juridiction et le barreau du Val-de-Marne, nous invite à nous retrouver le samedi 9 décembre prochain de 14 heures 30 à 17 heures dans la salle des pas perdus du palais de justice au pied du traditionnel sapin de Noël pour un moment festif et ludique.

Ne boudez pas la magie qui vous attend et rallumons ensemble les étoiles !

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En ces temps troublés, à l’heure où les combats se multiplient ici et ailleurs, ou des peurs irraisonnées conduisent à rejeter l’autre, comment s’accommoder de l’état du monde ? la chose est évidemment impossible !

Et si pour un instant, un instant seulement, nous tentions de nous consentir un moment de grâce, un instant de convivialité et de partage ?

C’est ce que notre barreau s’est résolu à offrir à la communauté du Palais le 16 novembre dernier. Sacrifiant à la tradition, il a mis  le vin en perce et à réuni magistrats, greffiers, fonctionnaires et avocats autour d’un modeste mais sympathique buffet pour goûter ensemble au beaujolais nouveau.

Et voilà que pour un instant, un instant seulement, on retrouva salle Serge LEQUIN une humanité souriante, échangeant agréablement et en liberté, chacun se disant, paraphrasant PREVERT, qu’il fallait « essayer d’être heureux, ne serait-ce que pour donner l’exemple ».

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