Depuis quelques mois, à l’initiative du Bâtonnier, les locaux de l’Ordre servent d’écrin à des expositions éphémères. Leur objectif ? Ouvrir les coeurs des visiteurs et déciller leurs yeux.
« La journée internationale des droits des femmes » fut l’occasion de rendre hommage à quelques-unes de ces avocates inspirantes qui combattirent inlassablement pour assurer aux femmes l’effectivité de leurs droits. Puis vint « Le printemps des poètes : des mots pour le dire » parce que nous oublions trop souvent que « le poète a toujours raison » et qu’il nous aide à mieux comprendre le monde et nous apprend à chasser les nuages pour laisser paraître le soleil.
Aujourd’hui c’est à la rencontre du « Petit Prince » que nous sommes invités. Pourquoi « Le Petit Prince », direz- vous. Parce que c’est à nous plus qu’aux enfants que ce conte familier est destiné. Enfants, lorsque les choses étaient trop sérieuses, nous utilisions notre imagination. Adultes nous l’avons perdue ! Nous reconnaissons la réalité du monde : ordre, rentabilité, fonctionnalité… et nous l’acceptons !
Le Petit Prince a cette vertu de réveiller notre enfant intérieur, celui qui imagine, qui rêve, qui s’émerveille et qui aime…
En ces temps de bruit et de fureur, alors que ressurgit le spectre de l’intolérance et qu’on nous vente les « vertus des robots », il nous appelle à tenter urgemment de faire pencher la balance vers le bien par l’ouverture à l’autre et à nous mettre en quête d’une vérité qui soit la nôtre la et non celle qu’on nous dicte.
Alors, venez saluer notre Petit Prince et partagez avec lui le secret du renard : « on ne voit bien qu’avec le cœur. L’ essentiel est invisible pour les yeux ».
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On vous l’avait dit : décidé à s’impliquer davantage dans la formation de nos futurs confrères, le barreau du Val-de-Marne avait signé, voilà peu, une convention tripartite de partenariat avec l’EFB et l’AEA (Association des Elèves-Avocats). Son objet : permettre aux élèves-avocats de participer au déroulement des permanences pénales, de la prise de connaissance du dossier à la plaidoirie en passant par les auditions,  naturellement sous réserve de l’accord du justiciable et de celui du magistrat, sous le regard attentif et bienveillant de l’avocat de permanence référent.
Pour des générations d'avocats, la salle Serge LEQUIN a toujours été un lieu emblématique.