Dans un monde résolument concurrentiel, face à tout ce qui risque fort d’anéantir « l’art juridique » (justice en ligne, plateformes multiples, legal techs, algorithmes, justice prédictive et plus récemment IA), il importe aux avocats d’être des acteurs incontournables du Droit.
Dynamiser votre exercice professionnel, valoriser l’image de vos cabinets en faisant admettre au public la plus-value que constitue la reconnaissance de votre compétence spécifique dans le domaine de spécialisation revendiqué, voilà ce que vous apportera l’obtention d’une mention de spécialisation.
Vous répugnez encore à « passer l’entretien de spécialisation » ? Allons donc, vous êtes des avocats aguerris et votre pratique professionnelle parle pour vous. Qu’est-ce qu’un entretien de quarante minutes avec un jury composé de deux confrères, d’un universitaire et d’un magistrat durant lequel, par une mise en situation professionnelle, vous allez avoir à démontrer que vos compétences en la matière sont bel et bien acquises ? N’est-ce pas ce à quoi vous êtes confrontés tous les jours ?
Vous hésitez encore et souhaitez en savoir davantage ? La lecture des fiches spécifiques à chaque domaine de spécialisation que vous trouverez en annexe devrait achever de vous convaincre que, comme le disait le vieux Sénèque : « Ce n’est pas parce que les choses sont difficiles que nous n’osons pas, c’est parce que nous n’osons pas qu’elles sont difficiles ». Alors, osez !
Voir les fiches spécifiques
- Droit de l'arbitrage
- Droit bancaire et boursier
- Droit de la protection des données personnelles
- Droit des associations et des fondations
- Droit du dommage corporel
- Droit du sport
- Droit de l'environnement
- Droit de la famille, des personnes et de leur patrimoine
- Droit de la santé
- Droit du travail
- Droit des enfants
Pour célébrer le 4 octobre prochain « LA NUIT DU DROIT » le barreau réitère : il offrira au public son « salon du livre », l’occasion pour tous de rencontrer écrivains, essayistes, magistrats et avocats, tous amoureux du Droit, qui présenteront leurs ouvrages, en débattront librement et naturellement sacrifieront au rituel de la dédicace.
Leurs noms ? Allons, point d’impatience ; ils vous serons révélés prochainement. Pour l’heure, sachez seulement qu’ils sont tous illustres et que tous ont contribué, chacun pour sa part, à faire vivre le Droit dans tous ses états.
Alors en attendant… à vos agendas !
Le 13 mars dernier, l’Assemblée Nationale a adopté, via une procédure accélérée, une proposition de loi visant à « restaurer l’autorité de la Justice à l’égard des mineurs et de leurs parents ». Au centre de ce projet qui doit encore être soumis à l’examen de la commission des lois puis à celui du Sénat : « la disparition de l’excuse de minorité », principe pourtant fondamental en matière de justice pénale de mineurs.
Ainsi donc, alors que le code de la justice pénale des mineurs, profondément novateur en la matière, a à peine quatre année d’existence et que son application trouve enfin sa mesure, on s’avise de légiférer à nouveau et de façon particulièrement coercitive, faisant résolument fi de l’intérêt de l’enfant dont la convention internationale des droits de l’enfant nous rappelle qu’il doit être une considération primordiale.
Mesdames et Messieurs les élus, pensez-vous sérieusement qu’il faille consacrer à chaque fait divers sa loi ? Quand cesserez-vous de légiférer dans l’émotion ? Notre pays attend mieux de vous qui êtes ses représentants, et le barreau du Val-de-Marne avec lui. C’est ce qu’il vous dit haut et clair dans la motion que son conseil de l’Ordre a adopté à l’unanimité en sa séance du 27 mars dernier.
Lire la motion.
Ils n’étaient plus que dix, ce 25 mars dans la salle Serge LEQUIN ; dix résolus à prendre tous les risques pour tenter de remporter le titre envié par beaucoup de leurs jeunes confrères, celui de « Secrétaire de la Conférence ».
On ne devient pas courageux, on l’est! Et tous l’ont été magnifiquement. Car il en fallait du courage pour affronter un jury présidé par le bâtonnier Yolaine BANCAREL, composé de nos confrères Jean-William VEZINET, Julien RIETZMANN et Anagi KODITUWAKKU, tous trois anciens Secrétaires, et qu’honoraient de leur présence les chefs de la juridiction, Madame la Présidente Catherine MATHIEU et Madame le Procureur Catherine LARMIGNAT, et le conduire à répondre à cette question quasi « existentielle » : « Choisir, est-ce renoncer ? »…
Le public était au rendez-vous, curieux, attentif et charmé. Et les absents auront eu bien tort : ils n’auront rien su du talent déployé par nos valeureux bretteurs : l’élégance retenue de certains, l’humour désinvolte des uns, la gravité militante des autres…
Florian, Téné, Clément, Maêva, Louise, Eva, Virgile ,Chloé, Annabelle et Léonard, merci de nous avoir ainsi régalés! Vous nous avez rendus bien fiers alors, soyez-le vous aussi !
Bien sûr, il fallut choisir (mais sans renoncer, la fête était trop belle…) et les lauriers revinrent à Virgile LEBLANC et à Clément DESPUJOL. Les voilà donc respectivement Premier et Second Secrétaires de la Conférence. A eux la mission redoutable d’accompagner notre Bâtonnier lors de la Rentrée solennelle du barreau et de se livrer à la joute oratoire qui est la marque de CRETEIL.
Allons, beaux Secrétaires, avec vous la relève est assurée et … la Rentrée sera belle !
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